Agriculture verticale - juillet 23rd 2025
Depuis le milieu du 20e siècle, le monde agricole connaît une croissance continue. Les fermes s’agrandissent, accélèrent les récoltes et multiplient les efforts pour répondre à la demande. Mais cette course effrénée n’est pas sans conséquence.
Les cas de maladies d’origine alimentaire sont également en hausse. Selon les plus récentes données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), certaines infections courantes ont augmenté de plus de 400 % par rapport à il y a dix ans.
Ce n’est pas une coïncidence. En cherchant à réduire les coûts tout en augmentant la production, plusieurs exploitations agricoles s’exposent à des risques accrus de contamination. Et si les agents pathogènes peuvent s’introduire à toutes les étapes de la chaîne, une contamination en début de parcours donne tout le temps nécessaire à ces bactéries pour proliférer avant d’arriver à votre assiette.
Alors comment conjuguer salubrité, rentabilité et production à grande échelle ? La réponse : revenir aux bases — en adoptant les technologies agricoles comme l’AEC et la culture verticale. Des solutions qui permettent de produire, à l’intérieur, des cultures denses en nutriments, de façon sécuritaire, durable et compétitive.
Les agents pathogènes n’ont pas de préférences. Mais ce sont les verdures feuillues qui reviennent souvent dans les rappels de produits contaminés.
Une étude estime que plus de 2,3 millions de cas de maladies d’origine alimentaire aux États-Unis sont liés chaque année aux verdures contaminées — et 3 cas sur 4 impliquent la laitue romaine.
Heureusement, les systèmes de culture verticale en environnement contrôlé cultivent ces mêmes verdures, avec succès, depuis plusieurs décennies. Comment limitent-ils les risques de contamination ?
La pollution par les fertilisants, les excréments animaux et l’eau contaminée augmente les risques sanitaires. Les fermes verticales modernes adoptent plutôt des systèmes hydroponiques ou aéroponiques, conçus pour maximiser l’absorption de nutriments, la croissance des plantes et la sécurité alimentaire.
Ces fermes intérieures tendent à tout intégrer : irrigation, ventilation, éclairage, surveillance. Le système en boucle fermée permet une irrigation contrôlée, enrichie et précise qui limite l’exposition aux contaminants et facilite la traçabilité de l’eau utilisée.
Les systèmes mobiles comme notre GREENRAK™ sont pensés sans allées fixes, ce qui réduit le contact ambiant et le risque de contamination croisée. En agriculture verticale, chaque plant est suivi, chaque mouvement est traçable, chaque risque est limité.
L’AEC et la culture verticale ne remplacent pas l’agriculture traditionnelle. Elles la renforcent. Et bien qu’elles incarnent l’avenir, elles rappellent surtout les fondements du métier : cultiver avec soin, nourrir en toute sécurité, protéger le vivant.
Chez Montel, nous espérons que cette transition ouvre une conversation plus vaste sur l’avenir de notre alimentation. Parce que manger sainement ne devrait jamais être un privilège.
Que vous cherchiez à intégrer la culture verticale dans vos installations ou à lancer votre propre production intérieure, les solutions haute densité de Montel — dont notre système GREENRAK™ — sont conçues pour réduire les risques de contamination, limiter le gaspillage et offrir des aliments plus sains, de la graine à l’assiette.
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