Montel parle d’agriculture verticale : 5 questions clés du terrain

Dans nos échanges avec des partenaires — du Québec à la Californie en passant par le Portugal — certaines questions reviennent sans cesse. Elles ne concernent pas seulement l’équipement, mais bien l’avenir de l’agriculture verticale, les stratégies opérationnelles à long terme et la durabilité des modèles.

Voici cinq des questions les plus fréquentes du terrain — et les réponses que nous apportons chaque jour aux leaders du secteur.

Q1 : Quels sont les piliers d’une exploitation agricole verticale réussie?

Les opérations les plus résilientes reposent sur cinq fondements : la durabilité, l’innovation, le contrôle qualité, l’engagement communautaire et la viabilité financière. Cela passe par l’optimisation des intrants (énergie, eau, main-d’œuvre), l’automatisation ciblée pour gagner en précision, le maintien de standards de qualité constants et le développement de relations commerciales solides — tout en gardant un œil attentif sur les marges et la capacité d’expansion.

Q2 : Comment assurer la rentabilité en agriculture verticale dans un marché compétitif?

La diversification est essentielle : vente directe, abonnements, partenariats avec les restaurants, contrats pour cultures spécialisées… autant de modèles à envisager. Tout aussi important : le suivi rigoureux des coûts. Comprendre le coût réel par gramme ou par unité permet de cibler les améliorations qui réduisent les pertes et la main-d’œuvre, sans compromettre la qualité.

Q3 : Quel est le rôle de l’innovation dans la croissance opérationnelle?

L’innovation ne repose pas uniquement sur l’adoption de nouveaux outils — mais sur la façon de les intégrer. Qu’il s’agisse d’éclairage intelligent, de contrôle climatique ou de capteurs pilotés par l’IA, l’objectif est d’exploiter les données pour ajuster les paramètres en temps réel. Les exploitations les plus performantes sont celles qui alignent leurs choix technologiques sur une stratégie d’affaires claire.

Q4 : Comment renforcer le lien avec la communauté?

L’agriculture verticale a une histoire naturelle à raconter : fraîcheur, proximité, durabilité. En organisant des visites, en offrant des programmes éducatifs ou en s’impliquant dans la sécurité alimentaire locale, les producteurs peuvent renforcer leur visibilité, bâtir la confiance et créer des partenariats qui vont bien au-delà du point de vente.

Q5 : Par où commencer pour un projet d’agriculture verticale?

Avant de choisir les cultures ou les systèmes de rayonnage, il faut débuter par un plan d’exploitation global : analyse de marché, projections énergétiques et hydriques, besoins en infrastructures, modélisation de la main-d’œuvre et scénarios de croissance. Une fois ces bases établies, il devient possible de concevoir des installations alignées avec les objectifs d’affaires présents et futurs — sans sacrifier l’efficacité ni la rentabilité.

Du concept à la mise en œuvre — Montel vous accompagne

Que vous agrandissiez une installation existante ou en conceviez une de A à Z, la réussite repose sur une infrastructure adaptée, fondée sur une expertise concrète. Chez Montel, nous aidons les producteurs à planifier, configurer et optimiser leurs systèmes de culture verticale à haute densité, en accord avec leurs objectifs de performance.

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